Au Galpon, à Genève, « De Corpore » déjoue les vides et les pleins. Une quête profonde de Fabrice Huggler, comblée par le corps.
L’aube du monde ou bien la fin? D’emblée, la musique gronde et l’on ne sait plus très bien. Ce dont on est sûr, c’est qu’on croirait entendre décoller un 747 faisant frémir le corps dans un transport cataclysmique. Le rendez-vous est théâtral… Chez le metteur en scène Fabrice Huggler, il y a cette façon troublante de questionner le perceptible, de blackbouler nos certitudes, en prenant le contre-pied permanent du visible et de l’invisible. De l’apparition et de la disparition. De la vie qui anime le corps aujourd’hui, de la poussière de cendres blanches qu’il deviendra demain. De l’humain et du divin. La dernière création du Neuchâtelois est un territoire de contrastes… (Le Courrier, 29 février 2012, Cécile Dalla Torre)
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