Là où Antheil a trouvé ses maîtres.
Succès pour un événement exceptionnel…. Sur le roman-collage de Max Ernst La femme 100 têtes, composé de 145 gravures, Antheil a composé 45 partitions pour le piano, sans autre précision. Fabrice Huggler, vidéo et metteur en scène, a utilisé 60 gravures et situé les musiques. Dans l’esprit «ready made», il a décollé à son tour et recollé plus encore… La partition «ouverte» de Max Ernst et George Antheil, donc propice à de multiples combinaisons, a été servie par des gens de talent, rivalisant de brio et d’intelligence. (L’Impartial, 8 juin 2004, Denise de Ceuninck)