Pour sa troisième mise en scène Fabrice Huggler ne suit pas la voie de la facilité. Le choix de Pirandello, « Chacun sa vérité », sent le risque, le pari. Dans un alliage d’audace et d’ambition, Huggler et sa troupe entrent en scène avec éclat… Le jeu des comédiens révèle une complicité imaginaire peu banale et trouve un précieux équilibre entre le sérieux du propos et l’humour. (L’Impartial, 19 septembre 2000, Denise de Ceuninck)